Une science reconnue
Il faudra cependant attendre la fin des années 80 pour que la phytothérapie soit enfin
officiellement reconnue par le ministère de la santé comme une médecine à part entière. Cette
décision est prise suite aux nombreuses études cliniques qui ont fourni la preuve incontestable
de l’efficacité des plantes et analysé avec précision les principes actifs majeurs.
On oppose souvent et malencontreusement les médicaments “classiques”, c’est-à-dire chimiques, à
la phytothérapie. Il y a pourtant pour les uns comme pour les autres une place complémentaire
dans l’arsenal thérapeutique dont nous disposons aujourd’hui. S’il est vrai que la pharmacie
“classique” a occupé pendant près d’un demi-siècle le devant de la scène, du fait des excellents
résultats qu’elle a permis d’obtenir dans de nombreux domaines, il s’agit cependant d’une
thérapeutique assez lourde dont les effets secondaires incitent à la prudence.
Voilà pourquoi nous pouvons dire à l’heure actuelle qu’il y a deux sortes de médicaments:
- les médicaments de maladie dont l’action rapide et puissante est utile dans les affections aigües;
- les médicaments de santé, fruits de la phytothérapie, dont l’action plus douce permet une
utilisation prolongée, évitant les effets indésirables.
Par son action en douceur et en profondeur, la phytothérapie contribue au bon équilibre de votre
corps en stimulant ses défenses naturelles, sans craintes d’effets secondaires. Bien choisies et
utilisées par des personnes averties, les plantes guérissent ou contribuent à guérir, parfois très
rapidement, des problèmes courants et actuels tels que le stress, le surmenage, l’arthrose, les
rhumatismes, la fatigue, la perte de sommeil, les problèmes de poids ou encore de circulation du
sang.
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jeudi 10 septembre 2009
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